Poésie Grandsonnaise

Sarcelle avait receuillit plusieurs vieux ouvrages et collecter les poemes de ses amis Grandsonnais pour la postérité.

BIen que certaines personnes semblent croire que la poésie n'est pas le reflet de la vie réel, j'aimerais seulement que les situation qui nous font coucher sur papier ces mots parfois si émouvant, si cruel ou si magique n'arrivent pas de nulle part... et.... je crois qu'il est important de pouvoir les savourer encore et encore.... et lorsqu'on sait d'ou ils viennent..... c'est encore mieux.

Alors... dans leur ordre d'apparition.... voici...

Nickoo34 ecriva sur un bout de papier parchemin ce quil ressentais
pour la dame qui lui ....................

Ton regard si magnifique et tant foudroyant,
m'a foudroyé doucement le premier instant.
Ta délicate voix si tendre, douce et agréable
a fait fondre en douceur ma claire, belle et blanche âme...

Ton grand coeur est aussi beau que celui d'un dieu,
tes yeux sont si purs, amoureux et merveilleux
que je vois ton âme reflétant comme un soleil,
illuminant tendrement tes grandes et belles ailes.

J'entends en moi ta très jolie et belle voix.
Ta beauté éclatante fait mon bonheur.
Dans mon coeur demeure une personne pure et tendre, toi ;
tu n'es pas à moi mais mon coeur bat pour toi !!!!!!

Je t’aimais publiquement comme ami
Et secretement comme ton prince charmant.
Tu étais le rayon de soleil qui elairait ma vie
Mais tout a changer brusquement.

Depuis ce jour d’été ou tu m’as souri
Je n’ai plus avouer mes sentiments
Ce jour la ou le ciel s’est abscurci
Je n’étais plus sur de te vouloir comme maitresse

En moi, un criant désir
Fit pied de nez a ma rationalité
Puisque je te revais, quitte a en souffrir
Malgré ma détermination a ne plus te posséder

Je tairai les tourments de mom esprit
Pour ouvrir doucement les ailes de mon cœur
Je marcherai lentement vers ta magie
Malgré la peur qui habite mes humeurs

Sauras-tu entendre mon appel a l’amour
Qui essaie tendrement de t’enlacer
Qui te cri de souffrance chaque jour
Que son plus arfent désir est d’aimer

Ou me laissera tu crever comme un chien
Vomissant de tout mes pores la nourriture
Cette défection dont je me vide soir et matin
Parce que de ‘’nous’’ je ne suis jamais sur

Les questionnements me tiraillent tellement l’esprit
Que j’en oublie cette passion eternel
C’est pas facile de cjoisir entre l’amoureux et l’ami
Pourtant,pourt toi mon cœur recommence a avoir des
Ailes

Ces geste d’affections.ces sourires, j’y ai cru
Mais tu reste sourde a mon hurlement desespéré
Tu ne me vois pas comme je l’aurais voulu
Tu reste muete alors que moi j’ai tant espéré

Devrais-je continuer a esperer
Que tu m’entends un jours???
Ou bien devrais-je oublier
Cette idee, quon soit unis un jours???

Ton silence me fait souffrir
Je commence a désespérer
Qu’un jour je ne retrouve le sourire
Que tu m’as enlevé

A force de crier en vain mes sens ont dérapés
Je n’ai plus de voix pour chanter mes délires
Mes yeux ne savent plus regarder le ciel azuré
Tout ce qu’il me reste c’est un dernier soupir………….

Mais tu ne l’entendras pas non plus
Trop occupé a courrir les vents
Non. Jamais tu ne m’auras vu
Derriere ton paravent………

stp repond a mon appelle !!!
Tu me manque beaucoup!!!

Miss arriva dans la grande salle, remarqua un petit étuis par terre.
le ramassa ouvrit, le lis les quelques ligne, trouvais si beau.
le prit et l'accrocha sur le babillard, Miss étais heureuse de voir tout les magnifique poèmes écrit sur le babillard.
Miss décida d'écrir a son tour, prenat le parchemin, prenant place a la table, prenat la plume et commencais a écrire son poème.

CE QUE TU VEUX

Ce que tu veux...
Je ferais tout ce que tu veux....
Je changerais le noir en bleu dans tes yeux....

Ce que tu veux...
Je ferais tout ce que tu veux...
J'exaucerais tes moindres voeux...
tous tes voeux...

Ce que tu veux...
C'est tout ce qui m'intéresse...
Le diable peut s'occuper du reste...
T'es tout c'que j'veux....

Ce que tu veux...
Je ferais tout ce que tu veux....
Je serais le soleil s'il pleut dans tes yeux....

Ce que tu veux...
Je l'ai trouver sans le chercher...
On dirait qu'il m'attendait...
Depuis lontemps...

Ce que tu veux....
C'est dans tes yeux que c'est écrit...
Si les autres ne l'ont jamais compris...
Moi je t'aime...
Je t'aime....

Ce que tu veux...
Je ferais tout ce que tu voudras...
Pour que ton amour ce soit moi....
Ce soit moi....

Ce que tu veux...
Si ce que je suis te déplait...
Je changerai je le promets...
Jusqu'à mon nom....
Jusqu'à mon nom...

Ce que tu veux....
Si un jour c'est que je disparaisse...
Ce sera la première promesse....
Que je ne pourrai pas tenir....

Miss finnissant d'écrire son poème, versa une larme qui roula sur ca joue.
Esseyais de le relire pour voir si rien y manquait , mais avait de la misère.
Miss avais écrit se poème avec son coeur et son ame, c'étais l'un des ces plus dure des poèmes qu'elle avais écrit jusqu'a maintenant.
Miss finni de lire son poème, en éssuyant cette larme,se leva et se dirigea au babillard pour l'accrocher avec les autres.
Se retourna reprit le chemin en se perdant dans ses pensée.....

posté le: Mar 03 Juil 2007 19:08 Sujet du message: Répondre en citant

Pour toi mon ami

Si un jour, tu as envie de pleurer
Appelle-moi,
Je ne te promets pas de te consoler
Mais je peux pleurer avec toi.

Si un jour,tu veux partir,
Appelle-moi,
Je ne te promets pas de te retenir
Mais je peux faire un bout de chemin avec toi.

Si un jour, tu ne peux plus supporter personne,
Appelle-moi,
Je te promets d'être là pour toi
Et de ne pas t'importuner.

Mais si un jour, tu m'appelles
Et qu'il n'y a pas de réponse,
Viens vite me voir,
C'est peut-être moi qui aurai besoin de toi...

Posté le: Sam 21 Juil 2007 01:41 Sujet du message: Répondre en citant

Grande passion destructrice
Obsédante, avec toi pour amant
Laissant en mon cœur une cicatrice
Insufflant son venin lentement

Je t’ai aimé passionnément
Tu reste la cause de mon tourment
Malgré la séparation je ne peux t’oublier
Dans ma mémoire passée tu restes gravé

Je t’ai attendu si longtemps
Pour ne récolter que du vent
Alors je me suis enfuie
Décidée à recommencer une autre vie

Mais malgré tout cela
Cette distance entre toi et moi
Ma souffrance est perpétuelle, mon cœur saigne
Tout mon être s’en empreigne

Mon tourment cessera t-il un jour ?
Trouverais-je la force d’en finir
De tourner la page de notre amour?
Ou me faudra t-il en mourir ?

Posté le: Sam 21 Juil 2007 02:25 Sujet du message: Répondre en citant
Encore une nuit bien courte pour moi...
Nuit propice à la poèsie...

C’est quoi cette eau qui coule sur ma joue ?
Une larme…
C'est quoi ce son qui sort de ma bouche ?
Un cri...
C'est quoi ce sentiment d'être si faible ?
De la tristesse...

Je ferme les yeux et les ouvre…
Je ne te vois pas.
Je les referme et je n'ai plus le courage de les ouvrir…
Je ne te verrais pas.
Est ce que toi tu me vois ?

Tes mains effleurant les miennes…
Te rappelles-tu ?
Tes lèvres taquinant les miennes…
Je les sens toujours.
Est ce que je te manque ?

C’est quoi ces mots qui sortent de ma bouche ?
Une prière…
C'est quoi ce sourire qui étire mes lèvres ?
Un espoir…
Arrives-tu à vivre sans moi ?

Posté le: Sam 21 Juil 2007 14:31 Sujet du message: Répondre en citant
Petit poème sur l'amitié et sur l'amour...
Pour ceux qui ont connu dans leurs vraies vies ces inoubliables moments...

L'amitié est l'amour qui a perdu ses ailes
L'amitié est un fil d'or qui ne se brise qu'à la mort
L'amitié est un placement :
" A cour terme c'est un beau souvenir,
A moyen terme c'est de la tendresse
A long terme c'est de l'amour "

Posté le: Dim 29 Juil 2007 22:46 Sujet du message: Répondre en citant
Pour Morgann,


Ce soleil dans ma vie,
C'est à toi que je le dois.
Tu as fait de ma vie
Un rêve merveilleux
Que je vis dès que j'entends ta voix,
Dès que tu m'emprisonnes
Par la douceur de tes baisers,
Par ta tendresse.
Avant toi, je n'ai connu que les larmes
Et les détresses
Mais, jour après jour, tout doucement,
Tu as transpercé mon coeur,
Pansé les plaies du passé
Et montré le chemin du bonheur.
Au coeur de l'hiver,
Tu as fait de ma vie un oasis en plein désert,
Fait jaillir la couleur du futur,
Mis une telle lueur sur mon trottoir
Et un tel feu dans notre histoire
Que j'ai encore du mal à y croire...

Merci mon Magicien
Pour tant de bonheur
Je n'y croyais plus...

Je t'aime...

Posté le: Dim 05 Aoû 2007 19:38 Sujet du message: Répondre en citant
Pour l'homme que j'aime et qui connaît déjà ses mots...

C'est souvent le soir que tu me manques. Mes journées passent, mes nuits sans toi s'éternisent...
Si je me bats encore aujourd'hui c'est pour toi, pour nous, pour moi afin de me prouver que je peux lui tenir tête...
Il me manque la douceur de tes caresses, la chaleur de ton étreinte, ta présence rassurante...
Tant de choses qui aujourd'hui donneraient un sens à ma vie...
Je t’aime, c'est vrai tu n'imagines pas à quel point, aimer à ce point c'est de la démence....
J'ai envie de te prouver mes sentiments, mes actes parlent bien plus fort que mes mots, mais comme tu es loin c'est le seul moyen que j'ai pour me sentir encore plus proche de toi....
Je perds la raison, le bonheur m'étourdit, c'est ca l'ivresse????
Dis moi mon cœur, dis moi que nous ne sommes qu'un et que plus jamais tu ne lâcheras ma main ...
La distance me transperce le cœur, j'ai peur de passer plus de temps à te quitter qu'à te retrouver ...
Mais pour toi je prends le risque, je prends le risque de tout perdre un jour, parce que tu en vaux la peine ....
Oui je te l'avoue j'ai peur, peur de te voir partir avec le soleil, peur de rester là, seule, plantée dans le noir.....
Ma motivation je la puise dans mon cœur, si je pouvais je nous inventerai un refrain, qui en cas de tristesse apaiseraient nos cœurs.....
Je pourrais même essayer de vaincre toute mes phobies pour toi mais je n'y arriverais pas, toujours cette peur de te perdre qui me noue le ventre rien qu'à y penser....Tout ces mots juste sortis de mon cœur, pour te dire combien tu me manques encore aujourd'hui…

Posté le: Mer 08 Aoû 2007 22:47 Sujet du message: Répondre en citant
aprs avoir passé une soirée en taverne
mymy decida de prendre une plume et d'écrire ceci

tristesse quad tu me blaisse
la tristesse a prit le decu sur ma pauvre vie
les larmes coules depuis fort longtemps et mon coeur ne cesse de saigner
abimer part temps de cruoter
dans se bas monde mal éduqué
je ne puis me résigné
d'être seul a pleuré
rien qu'a cette pensée
il m'est difficile de pas sucombé
et de chuté dans un fossé
je suis désolé de vous ennuié
mais vous etes le seuls dans mes pensée
le seul a qui parlé
le seul avec qui pleuré
je sais que j'ai pas été courtoise envert vous
me pardonneré vous un jour
de vous avoir l'amentablement blaisser
avec mes cries de femme mijoré
seul le temps peu nous le dictée
maintenant vous voilat fiancé
a l'être chere de vos pensé
je vous souhaite une longue vie avec votre dulciné


amicalement mymy

Posté le: Jeu 09 Aoû 2007 00:06 Sujet du message: Répondre en citant

Pour mon tendre et doux Morgann...


Quand je t’ai vu la première fois, le livre de l’amour je l’avais déjà refermé
Et toi en quelques heures en m’embrassant, tu l’as rouvert au chapitre premier
Je m’étais promis que plus jamais on m’y prendrai
Sur les pages de ce livre d’amour une histoire s’écrivait
A l’encre de ton cœur et à travers lui tu te déclarais

Tu es l’auteur du livre sur notre amour
Où je peux y lire, je t’aimerai pour toujours
Ainsi tu prends ma main dans la tienne, pour que je serre ta plume
Et j’écris : notre amour est perpétuel tout comme les vagues font de l’écume

Chaque fois que je suis dans tes bras ou auprès de toi
Tu réveilles la femme de feu qui sommeille en moi
Et dans nos corps à corps, on écrit le chapitre deux
Qui parle d’une volcanique passion et d’un amour poison
Où simplement du bonheur qu’on soit amoureux

Aujourd’hui, à l’encre de notre amour, on écrit le chapitre trois
Tu y écris une question d’histoire que tu veux me poser
Qui parle d’un avenir où l’on pense à fonder un foyer
En rimes, en vers et pleins de déliés j’ai pu lire ceci :
Veux-tu m’épouser ? je t’aimerai toute ma vie

Posté le: Ven 10 Aoû 2007 00:35 Sujet du message: Répondre en citant
Un p'tit pigeon passa et déposa un parchemin.

Ma plume griffonais noirceur et désespoir
On y voyait que des tâches d'encre,des écrits noir
Alors mes yeux d'azur on rencontrer les tiens
Depuis se jours le merle siffle toujours le même refrain

Il dénonce mon coeur qui pour toi survit
Exprime les mots en de fines dentelles
Efface les fausses notes et les soucis
Chante l'amour,cette amour rebelle

Rebelle car invrasemblable
Que mon corps et mon coeur puissent
S'offrir a toi,d'une caresse maléable
Ou même déposé cette main le long de ta cuisse

Je t'aime je l'avoue
Je n'y peut rien mais j'apprécie
Car ton âme embellit ma vie
Et rend moin laid ce montre de fous

Et oui je t'aime d'un amour,
le véritable,le vrai de vrai
Et malgré le monde et ces mefaits
Je suis prête èa le vivre pour toujours,....

a la personne destinée...

Posté le: Ven 10 Aoû 2007 01:13 Sujet du message: Répondre en citant

]i]Si les rayons de lune qui coulent sur ma peau
Suffisaient pour un soir à assouvir ta faim
Si l'aurore frissonnante qui danse sur ma main
Retenait un instant les pages et les mots
Je serais une étoile ou de la poussière d'ange.

Si le souffle enchanteur de ta bouche divine
Me faisait basculer dans un moment d'ivresse
Si au petit matin lassé de mes caresses
Tu repartais encore sans que je le devine
Je serais vent du nord ou déesse d'un jour.

Si la beauté d'une femme devenait ton empire
Bien au delà du temps pour retenir les heures
Si la nuit la plus noire se jetait sur ta peur
Pour calmer tes ardeurs dans un dernier soupir
Je serais la lumière pour devenir tes yeux.

Je suis l'étoile du nord qui te guide en secret
Je suis le vent qui passe sans même te regarder
Je suis lumière du jour quand tout n'est que beauté
Je suis miroir de l'âme qui reflète tes pensées
[/i]

Posté le: Sam 11 Aoû 2007 15:59 Sujet du message: Répondre en citant
Pour ma Tendre et Douce,

Hep, toi qui passe dans ma vie,
Près de moi, reste un instant ici.
Tu verras comme la vie est belle.
Avec moi, tu sais, elle étincelle.

Moi j’étais seul et abandonné,
Souvent perdu dans mes pensées.
Malheureux, mais fier alors,
Nul ne savait que rodait la mort.

Une ville déserte, un vent glacial
Ont eu raison de moi, ce fut fatal.
Moins que rien, me faisant peur,
La vie n’était qu’une vague lueur.

Un soir pourtant, une amitié naissante,
Et au bout d’un envie évanescente,
Tu es rentrée, toi aussi perdue,
Et des mots que tu as entendu.

Un jour, deux jours, trois jours,
Il était là mon bel Amour,
Je le cherchais depuis ce temps
Dans un hasard incessant.

Mon bonheur maintenant tu seras,
Pourvu que tu le veuilles toi,
Mon sourire renaît lui aussi
J’ai pris goût à la vie depuis.

Alors je dis Hep, toi qui passe dans ma vie,
Près de Toi je veux rester à l’infini.
Tu verras comme ma vie sera belle,
Cette vie qui de toi étincelle, car tu en est le soleil.

Je t’aime, ainsi va la vie,
Je t’aime, que cela reste écrit.
Je t’aime, c’est en moi,
Je t’aime, veux Tu rester près de moi ?

Morgann.

Posté le: Sam 11 Aoû 2007 16:11 Sujet du message: Répondre en citant


Il existe un mot que l'on peut faire passé
de lettre en lettre,
de main en main
Que l'on peut faire comprendre
de yeux en yeux
mais à la parole il est difficile a dire
car sa signification est tellement grande
quelle peut changer toute une vie
quelque sentiment
mais parfois rien du tout,
se qui est bien triste
Mais moi aujourd'hui je me lance
et je te le dit par un message

Posté le: Mar 14 Aoû 2007 02:39 Sujet du message: Répondre en citant

J’étais un lion solitaire
Au pouvoir éphémère.
La savane m’entendait
Quand au loin je rugissais.
Toujours fier et fort,
A mon gré, donnant la mort.
Nul ne me résistait,
Et tous me craignaient.
D’un glacial regard,
J’obtenais ma part,
Du butin d’autrui,
Toujours le mieux servit.
Qui tête me tenait,
A l’instant mourrait.
Sans partage jamais,
En seul roi, je régnais.

Toutes pour moi se battaient,
Mais j’aimais si je voulais.
Donnant de vulgaires faveurs,
Car de pierre était mon cœur.
Dédain pour les autres,
Peu dignes d’être apôtres,
Dieu vivant incontesté
La peur faisait régner.
Mais que m’est il arrivé,
Quand elle vint à passer,
Ma rage se fit douceur,
Ma force devint langueur.
Moi qui était seigneur et empire
Un mot d’elle et je saurai mourir.

Posté le: Mer 15 Aoû 2007 01:52 Sujet du message: Répondre en citant

Pour Morgann, l'homme de ma vie présente et à venir...


Il m’arrive de me demander pourquoi je vis…
Je connais pertinemment la réponse : c’est pour toi !!
Tu es ma raison de vivre…
Tu es le seul et l’unique
Homme de ma vie…
Et si un jour, tu me quittes emporté par la mort
Attendez vous, vous qui me lisaient à voir mon nom
Inscrit sur une pierre…
Et celle-ci sera placée dans un lieu
Nommé :…CIMETIERE…

Posté le: Sam 18 Aoû 2007 23:53 Sujet du message: Répondre en citant
23h53

Pourquoi faire souffrire une âme
Qui ne demande qu'a être aimer
Une âme aujourd'hui perdu
Qui ne retrouve plus son chemin
Une âme qui a le coeur brisé
Par des secrets caché qui font mal
Plus un mot plus un geste de tendresse
Plus un regard
Plus un seul mot d'amour pour réchauffé le coeur
Et se qui brise encore plus cette âme
C'est de voir son soleil s'éloigne de jour en jour
Pour allé brillé dans un nouveau monde

Posté le: Dim 19 Aoû 2007 01:41 Sujet du message: Répondre en citant

IL N'Y A PAS D'AMOUR HEUREUX


Rien n'est jamais acquis à l'homme,

ni sa force, ni sa faiblesse, ni son coeur.

Et quand il croit ouvrir ses bras, son

ombre est celle d'une croix. Et quand

il croit serrer son bonheur, il le broie.

Sa vie est un étrange et douloureux divorce.


ARAGON (Louis) (extrait)

Posté le: Lun 20 Aoû 2007 05:41 Sujet du message: Répondre en citant

Pour ceux ou celles qui se sentent concernées...

Alors quoi? Il m'arrive d'être coquine
Et d'humeur quelque peu badine.
Je ne suis pas de ces bien-pensantes
Qui clament d'être indépendantes
Et vous disent, d'un air pincé
Après l'amour, lorsque vous êtes éreintés
Que ces choses là
Cela ne se fait pas!

De celles qui confient un catimini
A leur meilleure amie
Que l'amour, quelle horreur,
Est la corvée de la dernière heure.

Moi, je veux aimer chaque fois
Comme si c'était la dernière fois
Me jeter dans les vagues du plaisir
Lorsque tes mains en délire
Tressent autour de mon corps
Des liens plus fort que la mort.
C'est le printemps qui creuse mes reins
C'est l'été au milieu des foins.

Lorsque tu m'emmènes dans ce pays
Fait de folie qu'est notre lit
Nous ne sommes plus, toi et moi
Que des désirs et tendres émois.

Allons mes jolies, ne prenez pas cet air scandalisé
En lisant mes vers éhontés.
Dites-vous qu'il est bon de se faire aimer
Sans pour cela être dévergondée.

Posté le: Mar 21 Aoû 2007 04:27 Sujet du message: Répondre en citant



Là, dans ce jardin de bonheur,
Je t'ouvres grand mon coeur,
Un paradis aux milles couleurs,
Vivre à deux, mon roi de Coeur...

Un voyage magique, fabuleux,
Seuls, on s'envols aux cieux,
Tes ailes déployées, d'un bleu,
Azur, qui reflète dans mes yeux...

Mon bel ange, emportes moi,
Loin, dans tes bras, contre toi,
Je veux ressentir ce doux émoi,
Notre amour n'as pas de lois...

La vie est si simple, à tes côtés,
Avec toi, j'oserai tout affronter,
Le monde peut bien se déchainer,
De ton sourire, tu viens m'embrasser...

Vivons, à jamais, sur ce nuage,
Protégés des ouragans, des orages,
Une vie féerique, telle un mirage,
Toi et Moi, au firmament, mon ange...

Posté le: Dim 26 Aoû 2007 17:50 Sujet du message: Répondre en citant
17h36

O toi,coeur d'espoir et de désespoir
Ainsi quand arrive le soir
Tu saignes de tes amours éteints

Quand,face à tes couverts,seul
Tu pleures te croyant devant un linceul
Tais-toi ! Chasse tes pensées morbides

En cet instants,tu penses avoir tout donné
Aujourd'hui,tu te sens écorché
Aimer,tu te demandes si tu peux encore

Toi,amoureuse de tant d'amour
Toi,fasciné d'un seul amour
De ton plus creux,tu as logé les secrets

Les jours se seccèdent aux jours
Tu ressembles à une cour vide
De toute âme perdue

O coeur qui vacille,séche tes larmes !
De tes amours éteints renaîtra la flamme
Car seule ton âme sait que tu peux encore aimer

Peut-ont croire encore a l'amour quand la personne que vous aimer s'éloigne de jours en jours !

Posté le: Dim 26 Aoû 2007 18:06 Sujet du message: Répondre en citant
17h56

J'ai oublié de vous dire que la vie n'était plus la même
Sachez combien vos mots apaisaient mes peines
Que lorsque venaient de vous ces gestes d'amour
Mon coeur frémissaient sous vos déclarations de velours

Qu'il est loin l'instant où l'amour n'était que bohème
Qu'il est loin le temps où vos mots criaient je vous aime
Je garde de vous l'espoir qu'un beau jours pourtant
Nous succombions encore à cet amour d'antan

Chantez-moi à nouveau ces airs beaux et tendres
Qui jadis furent la seule mélodie à me surprendre
Avec vous je veux me nourrir de ce miel amoureux
Qui coulait en nos bouches embaumées par le feu

Quand vos mains dégrafaient jupons et dentelles
Déposant chaleur entre vos mains,j'étais la plus belle
En conquérant,vous brandissiez votre archet vainqueur
Et sur mon corps d'opale,preniez la fine fleur

Il n'est d'enfer que celui de l'absence
Mon amour,je meurs aux affres de ll'ennui
Dois-je encore y croire et quérir votre présence
Ou trépasser vers les ténèbres infini ?

Posté le: Ven 31 Aoû 2007 00:39 Sujet du message: Répondre en citant
00h42


Seul au fil de la course du temps
Je te perds lucide à mon corps défendant
Bras de fer entre nous ou fuite en avant
Je ne cherche une lune dans ton cœur d'infortune

Et je cours après tes ombres anonymes
De détours en chemins que tu me dessines
Au secours, ne me laisse pas sans un signe
Un message de toi, je n'abandonne pas

Et je tombe à genoux dans ton regard qui s'en fout
Et je tends l'autre joue
Face à deux mille ans d'histoire
Je suis forcé de croire
Que j'ai perdu du temps a ne pas t'aimer vraiment
A faire l'amour comme on fait semblant
A ne plus rien changer du tout
De mes failles qui te poussent à bout...

J'ai envie de ton corps près de moi
Tu es ma survie et mon chemin de croix
Je n'ai pas d'excuse et pour une fois
Je m'en prends à moi-même, je sais pourquoi je t'aime
Et je voue mon âme à ton ciel, je me fis
A ton goût prononcé pour le paradis
Je progresse en ton territoire ennemi
Mais quand tu me regardes, je baisse la garde

Et je tombe à genoux dans ton regard qui s'en fout
Et je tends l'autre joue
Face à deux mille ans d'histoire
Je suis forcé de croire
Que j'ai perdu du temps a ne pas t'aimer vraiment
A faire l'amour comme on fait semblant
A ne plus rien changer du tout
De mes failles qui te poussent à bout...

Et je tombe à genoux dans ton regard qui s'en fout
Et je tends l'autre joue
Face à deux mille ans d'histoire
Je suis forcé de croire
Que j'ai perdu du temps a ne pas t'aimer vraiment
A faire l'amour comme on fait semblant
A ne plus rien changer du tout
De mes failles qui te poussent à bout...

J'ai encore envie de nous, même si je tombe à genoux,
Et les larmes à côté de l'amour sont rien du tout

Posté le: Dim 09 Sep 2007 02:11 Sujet du message: Répondre en citant


L'amour c'est ça...

"...L'amour ne jalouse pas;
il ne se vante pas,
ne se gonfle pas d'orgueil;
il ne fait rien de malhonnête;
il ne cherche pas son intérêt;
il ne s'emporte pas;
il n'entretient pas de rancune;
il ne se réjouit pas de ce qui est mal,
mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai;
il supporte tout,
il fait confiance en tout,
il espère tout, il endure tout..."